Ce chat à queue courte, menacé d'extinction, fut, après la Seconde Guerre mondiale, une sorte d'ambassadeur culturel du Japon aux États-Unis. Bien moins populaire que les races dérivées du Thaï, ce chat traditionnel japonais, à la réputation de porte-bonheur, a su néanmoins gagner le cœur des amateurs américains et européens.